25.2.08

Je m’empiffre de chocolat. C’est grave, docteur?



Je m’empiffre de chocolat. C’est grave, docteur? J’avais déjà alerté l’opinion mais avais effacé mes posts, jugeant sans doute que le sujet n’était pas suffisamment nourri… voici les aventures du mordu de chocolat en pays vendéen: chacun ses drogues, les miennes, ce sont le chocolat et le café. Régulièrement, je déclare à l’assemblée dubitative et moqueuse: demain j’arrête. C’est évidemment après avoir croqué une, voire deux plaquettes de chocolat dans la journée. Or donc, dans la série “demain, j’arrête”, je tente un sevrage expérimental (comportemental…) Je pose devant des affiches aguicheuses vantant les mérites du chocolat. Je vais dans le rayon friandises, je regarde les plaquettes susdites droit dans les yeux et repars sans en acheter.

J’suis cinglé?

Oui, merci.

p.s. en reflet dans la photo l'église que j'évoque dans les deux articles précédents ("articles", c'est vite dit... un post? une entrée? une chronique? tout ça, quoi, nappé de chocolat virtuel.)

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Ah, le mélange café chocolat noir !:-( J'ai arrêté le premier janvier, et je tiens bon...jusqu'à Pâques. Ou à la Trinité. On peut s'en passer (snif), et se contenter de les manger des yeux (snif). Ca demande évidemment une volonté d'enfer.

ohlebeaujour a dit…

oh là là j'avais oublié Pâques! que je suis nouille! ben ça va être dur de résister!

samedi! a dit…

Alors tu es comme la chanson d'Olivia Ruiz... mais toi, tu es l'homme chocolat :)

Anonyme a dit…

Tu vas me trouver très fou, mais... J'adore cet photo! Tu as le visage d'un ange. :-)