En IDTGV (TGV transportant uniquement des voyageurs munis de billets achetés sur Internet et imprimés à la maison), nous ne nous privons pas de petits plaisirs. Une voix roucoule « Nadia passera dans votre voiture afin de vous proposer ses gourmandises ». Au bar, Alexandre me sert une bouteille de Chardonnay, des cacahuètes et une bouteille de San Pellegrino pour se rincer le gosier. Lorsqu’une heure plus tard, je rapporte les bouteilles vides, je l’interroge : « vous recyclez le verre, le plastique ? », « Ah… (une fraction de seconde d’embarras), non. », « Dommage ! »
A l’heure où l’on culpabilise le consommateur lambda, les grosses entreprises feraient bien de donner l’exemple en matière de comportement responsable et écolo.
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7 commentaires:
la prochaine fois, tu mettras tes bouteilles vides dans ton sac!! et tu les recyclera! ;-)
arf... et moi j'en veux toujours une comme ça, l'est trop mignonne cette bestiole !
@ cocole
je le ferai, promis
@ hachiko
je confirme, elle n'est qu'amour (et espièglerie)
"Les gourmandises de Nadia" :)
Alors çà... quand tu penses aux quantités de matières qui pourraient être recyclées...
ça fait déjà plusieurs années que ça m'énerve, mais à un point!
Du coup, j'embarque mes boutanches vides et je recycle chez moi où chez les gens chez qui je loge...
IDTGV, je te hais !
(juste un souvenir de grand, énorme stress avec mon pote Olivier, de billets achetés par mes soins sur le net, sauf que j'avais pas vu qu'il fallait les imprimer, et qu'on a passé les 3 heures de train debout dans la voiture bar, à tenter, en se consolant avec un gueuleton libanais dont nous gardons tous deux un souvenir ému - et réussir - à échapper aux contrôleurs).
@ la trollette
les David bricolent comme ils peuvent quand les Goliath n'en fichent pas une rame
@ fiso
quand j'explique à certaines personnes qu'il faut imprimer les billets à la maison, ils me regardent comme des poules autour d'un timbre poste
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